Il serait bon que les praticiens se soumettent désormais à une charte de bonne conduite minima dont le Code déontologie ci-dessous exprime les principes - un peu à la façon du Serment d’Hippocrate du corps médical.
Plusieurs interventions récentes ont attité mon attention sur des dérapages pernicieux en matière de prestations en arts divinatoires et voyance.
Il serait bon que les praticiens se soumettent désormais à une charte de bonne conduite minima dont le Code déontologie ci-dessous exprime les principes - un peu à la façon du Serment d’Hippocrate du corps médical.
Article 1 : La pratique de la divination et de la voyance, avec ou sans supports, est un art et ne constitue d’aucune manière une science exacte. Autrement dit, il ne saurait exister de prédiction fiable à cent pour cent.
Article 2 : L’exercice de la voyance, art divinatoire a pour seule finalité d’éclairer le consultant sur son avenir potentiel afin qu’il en prenne conscience et puisse, en toute connaissance de cause, exercer pleinement son libre-arbitre.
Article 3 : Conformément aux données actuelles de la science parapsycologique, la voyance ou la médiumnité est considérée comme une factulté télépatique qui met le praticien en syncronicité avec la temporalité du consultant - telle qu’elle apparaît dans l’espace et le temps de la consultation.
Article 4 : Le praticien s’interdira :
Tout travail dit occulte Tout diagnostic formel lié à la santé Toute prédiction annonçant un décès Tout contact avec des entités spirites ou autres.
Article 5 : Le praticien prend l’engagement moral d’exercer son art dans un esprit altruiste - et ce, dans l’esprit de l’humanisme en dehors de tout esprit sectaire.
Article 6 : Le praticien s’engage au secret professionnel et s’interdit de révéler sous quelque forme que ce soit le contenu d’une consultation.
Article 7 : L’exercice professionnel devra se conformer aux droits et usages légaux en vigueur
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